Au milieu de bien des souffrances, la guerre civile fut néanmoins le théatre de soulèvements enthousiates et d'oeuvres admirables de l'espérance chrétienne.

- SYNOPSIS -

L’Espagne moderne traverse en 1936 une guerre fratricide terrifiante entre les rouges surnommés «les sans Dieu» et les nationalistes accusés d’être rétrogrades.

• En Alcazar, le colonel Moscardo affronte les rouges qui souhaitent le faire capituler en capturant son fils.
• La présidente du parti communiste agit sans tendresse ; on la surnomme «la passionaria».
• Lors d’une exécution, les balles esquivent frère Jaime qui reste serein face aux fusils qui le braquent.
• Partout les républicains forcent les chrétiens au blasphème mais beaucoup ne cèdent pas.
• Malgré tout, les oeuvres entreprises en Espagne continuent : l’Opus Dei prêche d’une maison à l’autre avec discrétion.

Le soulèvement était-il justifié ? Il y a eu des erreurs. Il y a eu du courage. Aujourd’hui les tensions se sont apaisées, mais cette période conserve un goût d’amertume dans chacun des deux camps. L’Espagne de ces années terribles est le lieu de toutes les grandeurs et de toutes les espérances...

Une formidable découverte qui se lit comme un roman !
Les mythes de la Guerre d'Espagne de Pio Moa, ancien militant communiste, remporte un énorme succès avec 300 000 ventes en Espagne. Ce livre de 680 pages conclut à la responsabilité écrasante de la gauche révolutionnaire dans le déclenchement de la guerre civile espagnole de 1936.

Mauricette Vial-Andru, en moins de cent pages, vous donne un avis éclairé sur cette période trouble.